On a donné à nos chambres d’hôtes des noms en patois valdôtain, langue amplement utilisée au quotidien dans notre vallée. Quatre des six chambres ont réçu les noms des différentes saisons, essentielles pour le travail de nos grand-parents, qu’en principe utilisaient notre chalet de montagne pour le stockage du foin et l’élevage du bétail, tandis que dans les terrains contigus, l’été, ils cultivaient des fruits et des legumes. Les autres deux chambres prennent leur noms du fenil et de la cuisine, jadis le coeur de la vie quotidienne de la famille.